Psaumes 146:5 Heureux celui qui a pour secours le Dieu de Jacob, Qui met son espoir en l’Éternel, son Dieu ! Le secours est généralement définit comme l'ensemble des moyens mis en œuvre pour porter assistance. Dieu lui-même pourvoit aux moyens nécessaires à notre secours : par les armes mises à notre disposition (voir Ephésiens 6), par les dons spirituels (voir 1 Corinthiens 12), par le Saint-Esprit, par Sa Parole, par Sa présence, et Ses actes. Dans le secourisme on observe des processus qui garantissent efficacité et bonne coordination des secours. L'un deux est résumé par le trigramme PAS pour Protéger Alerter Secourir.
Il en est de même spirituellement, nous sommes protégés, notamment par le bouclier de la foi, nous pouvons alerter par des soupirs, des cris, des prières ou des supplications, et être secourus par Jésus-Christ, qui, lorsque nous tomberons, lorsque nous serons fatigués, abattus, dans l'affliction ou la détresse, nous relèvera et marchera avec nous. Si nos forces sont trop faibles, il nous portera pour que nous puissions retrouver des forces et être restaurés.
Psaume 121 :
1 Cantique des degrés. Je lève mes yeux vers les montagnes … D’où me viendra le secours ?
2 Le secours me vient de l’Eternel, Qui a fait les cieux et la terre.
3 Il ne permettra point que ton pied chancelle ; Celui qui te garde ne sommeillera point.
4 Voici, il ne sommeille ni ne dort, Celui qui garde Israël.
5 L’Eternel est celui qui te garde, L’Eternel est ton ombre à ta main droite.
6 Pendant le jour le soleil ne te frappera point, Ni la lune pendant la nuit.
7 L’Eternel te gardera de tout mal, Il gardera ton âme ;
8 L’Eternel gardera ton départ et ton arrivée, Dès maintenant et à jamais.
Un homme là, étendu, sans vie. Quelqu'un se penche sur lui et va pratiquer la réanimation.
«L'Eternel souffla dans ses narines un souffle de vie et l'homme devint une âme vivante.» Genèse 2:7
Cet homme en péril, fut assailli par des brigands et laissé à demi mort au bord du chemin. Deux personnes vont, à tour de rôle, passer par là, le voir... et se détourner. C'est vrai qu'il n'est pas très beau à regarder!
«La tête entière est malade, et tout le cœur est souffrant. De la plante du pied jusqu'à la tête, rien n'est en bon état: ce ne sont que blessures, contusions et plaies vives.» Esaïe 1.5-6
Et ces deux hommes dont l'étiquette sociale et religieuse nous aurait donné lieu d'attendre une autre attitude, ne se sont pas sentis concernés. Ce n'était qu'une étiquette! Finalement, c'est un étranger, un immigré, celui que l'on méprise, un Samaritain qui interviendra.
«Mais un Samaritain, qui voyageait, étant venu là, fut ému de compassion lorsqu'il le vit. Il s'approcha, et banda ses plaies, en y versant de l'huile et du vin; puis il le mit sur sa propre monture, le conduisit à une hôtellerie, et prit soin de lui.» Luc 10:33-34
Cet immigré, ce bon Samaritain de la parabole n'est autre que Jésus-Christ.
Si aujourd'hui vous vous reconnaissez dans le portrait de cette victime, dans la solitude, la souffrance, la détresse, assailli par la violence et la haine qui ravagent la société, meurtri par votre péché, sachez qu'il y a de l'espoir, quand bien même des «étiquettes» vous auraient déçu. Jésus-Christ, le bon secouriste, le bon Samaritain, désire prendre soin de vous, vous mettre au bénéfice de ce qu'il a déjà accompli sur la croix pour chacun de nous :
«Ce sont nos souffrances qu'il a portées, c'est de nos douleurs qu'il s'est chargé... Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris». Esaïe 53:4-5
«Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses.» 2 Cor. 5:19
Tel que vous êtes, abandonnez-vous à Dieu, de lui, jamais vous ne serez déçu. Puisse cette étude vous apprendre à réclamer et obtenir le secours de Dieu dans vos besoins.
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