L'imposition des mains

Hébreux 6:1,2 C’est pourquoi, laissant les éléments de la parole de Christ, tendons à ce qui est parfait, sans poser de nouveau le fondement du renoncement aux œuvres mortes, de la foi en Dieu, de la doctrine des baptêmes, de l’imposition des mains, de la résurrection des morts, et du jugement éternel.

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LIMPOSITION DES MAINS
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Points clefs

L'imposition des mains fait partie des éléments de base de la parole de Christ (Hé 6:1-2)

Elle est pratiquée pour :

Le baptême dans le Saint-Esprit (Ac 8:17).

La guérison (Ac 9:17;28:8)

Le service (Ac 6:6)

Les miracles (Ac19:11)

Les dons (1 Tim 4:14)

Les signes (Ac5:12)

La délivrance (Luc 13:11-13)

La bénédiction (Marc 10:16)

 

L'imposition des mains, n'est pas obligatoire (Ac 16:18), doit se faire avec sagesse et sans précipitation (1Tim 5:22)

Dans l'Ancien Testament il s'agit d'un rite de transmission : de dons et de bénédictions (De 34:9), mais également de la malédiction (Lé 16:20-22).

Dans le Nouveau Testament elle désigne toujours une bénédiction.

 

La main.

Dans la Bible, la main est symbole d'activité, d'administration, de direction, de puissance, de protection et d'alliance.

On parle de mains innocentes (Ge 20:5), d'ouvrages faits par les mains (Ps 90:17). La création est l’œuvre des mains de Dieu (Ps 8:7), les destinées de l'homme sont dans sa main (Ps 31:16).

La main droite a une importance particulière (Ge 48:14).

Pour transmettre le pouvoir on posait la main sur la tête (No 27:18). L’aveugle ou le faible étend sa main pour se diriger (Jn21:18).

La main tendue de Dieu vers l’homme symbolise sa miséricorde (1 Pi 5:6), son jugement ou son avertissement (2 Sam 24:1).

La main peut être fermée ou ouverte, en signe de défaillance ou de générosité (De 15:7).

Elle peut être symbole d'un appui (2 Rois 5:18), d'un engagement ou d'un serment (Ge 24:9).

Le lavage des mains est symbole d'innocence et de pureté (Mat 17:24), l'applaudissement peut accompagner la joie (Ps 47:2) comme le mépris (La 2:15), mais aussi la colère (No 24:10), l’humiliation (Jé 2:37) ou la tristesse (2 Sam 13:19).

 

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